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Actualités technologiques

Ces avertissements concernant les chantiers de forage vous apprennent à éviter les pièges de sécurité.

Ces avertissements concernant les chantiers de forage vous apprennent à éviter les pièges de sécurité.

Bien sûr ! Les chantiers de forage sont des zones de travail à haut risque, et toute négligence peut avoir des conséquences irréparables. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples tirés de faits réels, qui servent d'avertissement et vous indiquent clairement les pièges de sécurité à éviter.

Cas 1 : Le raccourci fatal – Ne pas porter de ceinture de sécurité lors de travaux en hauteur

Scénario : Un ouvrier effectuait la maintenance d'un équipement sur la plateforme du deuxième niveau d'une foreuse. Pensant qu'il s'agissait d'une simple opération de quelques minutes, il n'a pas mis sa ceinture de sécurité par commodité. Il a soudainement glissé et fait une chute de plus de dix mètres.

Piège de sécurité : Prendre des risques et chercher des raccourcis.

Une leçon sanglante : « Lorsque vous travaillez en hauteur, la ceinture de sécurité est votre seul lien de sécurité. » Tout travail à plus de 2 mètres du sol exige le port obligatoire d'une ceinture de sécurité, qui doit être attachée en hauteur et utilisée en bas, et solidement fixée à une structure robuste. Quelques minutes de confort peuvent coûter une vie de bonheur.

Cas 2 : Le tueur silencieux – Travail en espace confiné et intoxication au gaz

Résumé : Lors du nettoyage ou de l’inspection d’une cuve de fluide de forage, un travailleur y est entré sans effectuer de test de gaz et s’est effondré instantanément, victime d’un manque d’oxygène ou d’une intoxication par des gaz toxiques tels que le sulfure d’hydrogène. Tentant ensuite de le secourir à l’aveuglette, il s’est également effondré, causant un nombre de victimes encore plus important.

Piège : Ignorer les dangers des espaces confinés et tenter des sauvetages à l’aveuglette.

La leçon sanglante : Ventiler d’abord, puis tester, puis travailler ! Avant d’entrer dans un espace confiné, un détecteur de gaz doit être utilisé afin de vérifier rigoureusement la présence d’oxygène, de gaz combustibles et de gaz toxiques.

Tenter des sauvetages à l’aveuglette est strictement interdit ! Après un accident, la priorité absolue est d’appeler la police. Les opérations de sauvetage ne doivent être entreprises que si la sécurité du travailleur est assurée et si un équipement professionnel, tel qu’un appareil respiratoire à pression positive, est disponible.

Cas 3 : L’accident mortel – Blessures mécaniques et équipements rotatifs

Scénario : Un foreur, alors que l’appareil de forage était en marche, a tenté de dégager des débris enchevêtrés près de la table de rotation à mains nues ou s’est trop approché de la tige de forage en rotation. Ses manches ou ses gants se sont pris dans les débris, lui causant une grave blessure au bras.

Piège à risques : Non-respect de la règle « Interdiction de toucher les équipements en fonctionnement ».

Une leçon à méditer : « Équipements rotatifs, dents impitoyables. » Le système de consignation et d’étiquetage doit être strictement respecté. Lors de l’inspection, du nettoyage ou de la réparation d’un équipement défectueux, la machine doit d’abord être arrêtée, puis l’alimentation électrique coupée, et enfin l’équipement consigné et étiqueté afin de garantir une isolation électrique complète avant toute intervention. Maintenez-vous toujours à distance des pièces en fonctionnement.

Cas 4 : Le danger sous vos pieds – Couverture des trous et travaux en bordure

Scénario : Des tranchées temporaires et des trous de tubage découverts ont été constatés sur le site de forage. Un travailleur de nuit, en dirigeant des véhicules en marche arrière, a fait une chute involontaire et s'est retrouvé coincé, voire blessé.

Piège à sécurité : Manque de gestion environnementale sur le site, angles morts.

Leçon sanglante : Tous les orifices sur le site de forage doivent être immédiatement recouverts de couvercles robustes et clairement signalés par des panneaux d'avertissement. Des garde-corps de protection doivent être installés pour les travaux à proximité des bords et des ouvertures. Le personnel doit circuler uniquement par les passages de sécurité désignés, en particulier la nuit, où un éclairage adéquat est essentiel.

Étude de cas 5 : Alarme tardive – Fuite de sulfure d'hydrogène et défaillance d'urgence

Analyse du scénario : Lors du forage, une formation contenant du sulfure d'hydrogène a été rencontrée. Or, l'alarme de surveillance du sulfure d'hydrogène sur site n'avait pas été régulièrement étalonnée et n'a pas déclenché l'alarme aux faibles concentrations. Lorsque l'odeur d'œufs pourris s'est fait sentir (signe que la concentration était alors extrêmement élevée), il était trop tard. Parallèlement, certains membres du personnel n'ont pas enfilé correctement et rapidement leur appareil respiratoire à pression positive.

Piège à sécurité : L'équipement d'urgence était inefficace et les capacités d'intervention d'urgence insuffisantes.

Leçons tirées de la tragédie : L’équipement de sécurité doit être fiable. Il est impératif de calibrer régulièrement tous les détecteurs de gaz et les systèmes d’alarme afin de garantir leur sensibilité et leur efficacité.

Les exercices sont essentiels. Des exercices d’urgence réguliers, notamment pour la protection contre le sulfure d’hydrogène, doivent être menés afin de s’assurer que chaque employé connaît les voies d’évacuation, la signification des indicateurs de direction du vent et sait enfiler correctement un appareil respiratoire en moins de 30 secondes.

Cas n° 6 : Le piège « discret » – Fuite dans une canalisation haute pression

Analyse du scénario : Un petit trou est apparu dans une canalisation de boue haute pression en raison de vibrations ou de corrosion prolongées. Au départ, il s’agissait d’une fuite mineure, projetant un brouillard de boue. Les employés n’y ont pas prêté attention, se contentant de nettoyer sans arrêter immédiatement la pompe, dépressuriser la canalisation ni signaler l’incident au service de maintenance. Finalement, le petit trou a éclaté et la boue haute pression a été projetée avec violence, blessant le personnel à proximité.

Piège à sécurité : La négligence et l’insouciance face aux risques mineurs.

Une leçon à retenir : « Sous haute pression, aucun détail n'est négligeable. » Dès qu'une fuite est détectée dans les canalisations, les vannes ou les joints, elle doit être immédiatement signalée conformément à la procédure, et la pompe doit être arrêtée. Ne jamais utiliser un système défectueux. Maintenir une distance de sécurité et ne jamais rester à proximité de canalisations haute pression pendant une période prolongée.

Résumé : Comment éviter ces pièges ?

L'attitude est primordiale : il faut éliminer toute complaisance fondée sur l'habitude, la surobservation ou la surutilisation. La sécurité est toujours la priorité absolue ; aucun compromis n'est acceptable.

Les procédures sont essentielles : il faut respecter scrupuleusement les systèmes d'autorisation de travail (tels que les autorisations de travail en hauteur, en espace confiné et à chaud), en veillant à ce que chaque étape de l'opération soit réglementée.

L'équipement est la garantie : il faut porter et utiliser correctement les équipements de protection individuelle (casque de sécurité, chaussures de sécurité, lunettes de sécurité, gants) et s'assurer que tous les équipements de sécurité (alarmes, appareils respiratoires, extincteurs) sont en bon état de fonctionnement.

La supervision est essentielle : respectez le principe des « quatre règles de non-nuisance » (ne pas se nuire à soi-même, ne pas nuire à autrui, ne pas subir de préjudice et protéger autrui) et osez dire « non » à toute infraction.

La formation est fondamentale : organisez régulièrement des formations à la sécurité et des exercices d’urgence afin d’ancrer durablement la vigilance et les gestes d’urgence.

Dans le secteur du forage, où l’acier, la géologie et l’énergie sont omniprésents, chaque mot des règles de sécurité est synonyme de tragédie. Se souvenir de ces accidents n’est pas une question de peur, mais de nécessité pour accomplir chaque journée de travail avec plus de rigueur, de professionnalisme et de sécurité, et rentrer chez soi sain et sauf.